
Bienvenue dans un espace où tu peux enfin respirer !
Je suis vraiment contente que tu sois là.
Alors, respire. Tu viens d’atterrir dans un espace où tu n’as rien à prouver.
Et si tu es ici, c’est probablement parce qu’il y a quelque chose en toi qui est fatigué.
Tu es peut-être fatiguée de tout porter sur tes épaules. De faire de ton mieux sans être vraiment vue. De faire semblant que tout va bien alors que ce n’est pas le cas.
Mais ton corps ne ment pas, c’est ton guide le plus honnête.
S’il tire la sonnette d’alarme, ce n’est pas pour rien.
Alors, cette lourdeur que tu ressens ?
Ce n’est pas de la faiblesse.
C’est ton corps, ton cœur, ton système nerveux qui font tout ce qu’ils peuvent pour que tu tiennes le coup.
Et peut-être que tu "tiens le coup" depuis longtemps déjà.
Ce qui est sûr, c’est que :
Tu n’as pas besoin d’être « réparée ».
Tu as besoin de souffler.
Tu as besoin d’un soutien qui te rencontre là où tu en es, sans attentes, sans jugement.
Tu as besoin d’un soutien qui s’adapte à toi, à ton rythme, et qui comprend vraiment ce que tu traverses — sans pression, sans masque, sans filtre.
C’est exactement pour ça que cette page existe.
Et si tu choisis de continuer sur cette page, tu découvriras en douceur un exemple de la façon dont je peux t’accompagner — à ton rythme, sans pression.
Fais connaissance avec la personne derrière Mind to Love.
Je m’appelle Sabrina Bouhadji.
Je suis coach de santé holistique et praticienne en médecine énergétique.
J’accompagne des femmes sensibles, souvent dépassées, épuisées de devoir tout porter, faire semblant, tenir bon pour tout le monde…
Des femmes qui veulent juste pouvoir respirer. Et enfin se retrouver.
Je travaille avec le corps, l’esprit, et tout ce qui pèse à l’intérieur — même si tu ne sais pas toujours d’où ça vient.
Tous les outils que j’utilise reposent sur des bases solides — certains validés par la science, d’autres en cours d’exploration, mais tous éprouvés par l’expérience.
Beaucoup de mes pratiques viennent aussi de sagesses ancestrales, transmises et affinées à travers les siècles et les cultures.
Ce qui compte, c’est que ça fonctionne — naturellement — et que ça te corresponde.
Mon approche combine la régulation du système nerveux à un accompagnement intuitif et concret.
Je t’aide à te reconnecter, à faire bouger ce qui est bloqué, et à avancer.
Pas en théorie, mais dans ta vie de tous les jours.
Il ne s’agit pas de te « réparer ».
Il s’agit de te redonner accès à ce qui est déjà là, en toi.
Alors si tu fais déjà “tout ce qu’il faut” mais que quelque chose cloche, je suis là pour t’aider à te retrouver — pour que tu te sentes plus ancrée, plus calme, et plus en phase avec toi-même.
Allez, assez parlé de moi. Tu t’es retrouvée sur cette page pour une raison. Et si on regardait ça de plus près ?
Toute démarche commence quelque part, même quand on ne sait pas encore où elle va nous mener. Il y a toujours un point de départ, une direction et une destination.
Si tu n’as pas encore de destination claire, ce n’est pas grave — on peut commencer par quelque chose de simple, comme la joie.
Alors, maintenant qu’on a une destination… voyons ensemble d’où tu pars vraiment.
Voyons ensemble ton point de départ.
À quel point es-tu stressée, en réalité ?
Le stress ne se montre pas toujours de façon évidente. Parfois, il se manifeste en silence — à travers la fatigue, les tensions, le brouillard mental, ou un corps qui fait mal ou qui n’arrive pas à se détendre.
Voici deux façons douces de faire le point avec toi-même et de retrouver un peu de clarté :
Option A – Bilan approfondi
Fais le test complet pour évaluer ton niveau de stress actuel
✓ 26 questions simples et ciblées,
✓ Environ 10 minutes,
✓ Résultats personnalisés immédiats,
✓ Séries d’e-mails de self-coaching en option, pour continuer à avancer à ton rythme,
✓ Rapport complet : un mini-guide en option avec des outils concrets,
✓ Possibilité de discuter tes résultats gratuitement et en direct avec moi (15 min),
✓ Possibilité de réserver une session complète pour passer à l’action.
Ce n’est pas juste un quiz — c’est une vraie auto-évaluation qui t’aide à voir où et comment le stress se manifeste dans ta vie… et comment commencer à en sortir.
Option B – Bilan rapide
Repère les signes discrets du stress
(Pas besoin d’email)
Le stress ne crie pas toujours. Parfois, il s’installe en douce, sans faire de bruit. Voici une liste simple pour t’aider à faire le point :
◻️ Je suis fatiguée, même quand je me repose.
◻️ Je me réveille déjà tendue ou à fleur de peau.
◻️ Je n’arrive pas à arrêter de penser.
◻️ Je tremble, ou je me sens vide, ou à côté de mes pompes.
◻️ J’ai mal ou je suis tendue sans raison apparente.
◻️ J’oublie des trucs ou je m’énerve pour rien.
◻️ Être avec d’autres me vide complètement.
◻️ Je me sens dépassée, même par des petites choses.
Si trois de ces phrases te parlent, ton système nerveux est probablement en surrégime.
Ce n’est pas "dans ta tête" — c’est dans ton corps. Si tu veux un aperçu plus complet, fais le test complet ici.
Et si tu n’avais pas besoin de tout comprendre pour commencer à aller mieux ?
Tu as juste besoin d’un point de départ — et d’outils simples qui aident vraiment, même quand ton mental tourne à fond et que ton corps est à côté de la plaque.
Tu as essayé de te reposer. Tu as essayé de rester positive. Tu as lu les astuces, les posts, les bouquins. Malgré tout ça… il y a un truc qui ne va pas.
Ce n’est pas parce que tu t’y prends mal.
C’est parce que ton système nerveux est toujours en mode survie.
Changeons ça, en douceur, de façon concrète. Avec du vrai soutien.
Pas en te mettant la pression ni en te disant de "faire plus d’efforts" — mais en libérant ce qui t’empêche d’avancer.
C’est exactement ce qu’on va faire. Ici. Sur cette page.
Alors voyons… qu’est-ce qui te retient ?
Si tu lis ceci, j’imagine que tu as déjà fait le premier pas : regarder honnêtement où tu en es.
Et ça, c’est déjà un acte de courage.
Maintenant, voyons ce qui pourrait t’empêcher de recevoir le soutien dont tu as vraiment besoin.
Des femmes au grand cœur comme toi — sensibles, généreuses, qui portent beaucoup (souvent pour tout le monde) — rencontrent souvent les mêmes blocages.
Tu n’es pas la première. Et tu n’es certainement pas seule.
On va les traverser ensemble, ici même, sur cette page.
Continue simplement à lire en faisant défiler.
Oui, tu as bien lu : c’est l’un de ces (rares) moments où on t’encourage franchement à continuer de scroller !
Et on commence par l’un des blocages les plus courants.
Celui qui retarde discrètement notre développement, pendant des mois, parfois même des années. Le fameux :
« Je ne sais pas ce dont j’ai besoin. »
Ça te parle ?
-
Oui, c’est moi → Continue à faire défiler, je suis là avec toi.
-
Non, pas vraiment → Clique ici pour passer au blocage suivant.
"Je ne sais même pas ce que je veux."
Ne pas savoir n’est pas un échec.
C’est un signal.
C’est normal de ne pas savoir.
Ne pas être sûre de ce dont tu as besoin ne veut pas dire que tu es cassée.
D’ailleurs, si tu savais exactement ce qu’il te fallait… tu ne serais sans doute pas en train de lire ceci.
Ne pas savoir, c’est très souvent ce qui arrive quand on a été en mode survie trop longtemps.
Quand ton corps est tendu depuis des mois (ou des années), tes pensées deviennent floues.
Tu n’arrives plus à ressentir clairement. Ni à penser clairement. Donc forcément, tu n’arrives pas à décider clairement.
Tu sais, tu n’es pas perdue. Tu es simplement épuisée.
Et c’est tout a fait logique que tu ne saches pas par où commencer.
En cet instant précis, tu n’as pas besoin d’un master plan. Tu n’as pas besoin de clarté.
Tu as juste besoin de deux choses :
-
Sortir du mode stress,
-
Et faire un petit pas en avant — doux, avec soutient.
C’est tout. C’est exactement là que la Séance de libération du stress a tout son sens.
Si tu es aux Pays-Bas, venir en présentiel rend la séance encore plus relaxante — mais en ligne, ça fonctionne aussi à merveille.
Tu n’as pas besoin de tout me raconter si tu n’y es pas prête.
Tu n’as pas besoin de tout connaître ni de savoir comment ça marche.
Tu viens comme tu es, et je t’accompagne pas à pas, hors du stress.
Faisons le point :
Est-ce que ça ressemble à ton point de départ ?
Bon à savoir...
Quand tu es coincée en mode stress, l’afflux sanguin dans ton cerveau se détourne des zones responsables de la clarté, des décisions et de l’équilibre émotionnel.
C’est pour ça que tout peut sembler flou.
Ça n’a donc rien à voir avec qui tu es.
C’est ton système nerveux qui fait de son mieux pour te protéger.
Aussi bon à savoir...
Le stress peut te faire croire que ne pas savoir, c’est un échec.
Mais souvent, ne pas savoir, c’est justement le premier signe que tu ralentis enfin assez pour ressentir ce qui se passe vraiment.
Ne pas savoir, ce n’est pas un vide ni un échec.
C’est une porte d’entrée.
"Je n’ai pas le temps en ce moment."
Pourquoi le « pas maintenant » finit par te coûter plus cher.
On met souvent le repos et le soutien tout en bas de la liste des priorités, surtout quand tout semble chaotique. Mais voilà le paradoxe :
Ce que tu repousses le plus, c’est souvent ce dont tu as le plus besoin.
Quand ton système nerveux est en mode survie, il détourne tes priorités.
Tu deviens ultra-focus sur comment tenir le coup… et tu te mets à croire que tout ce qui n’est pas "urgent" peut (ou doit) attendre.
Mais la sérénité, ce n’est pas un luxe.
C’est la base qui permet à tout le reste de fonctionner.
Ton corps ne demande pas la perfection, il demande juste un moment réel, sans tension.
Un moment où il peut enfin se sentir assez en sécurité pour relâcher.
Que ce soit une séance, une étreinte, une balade dans la nature ou juste quelques respirations posées — ça compte.
Et plus tu attends, plus tout te coûte.
Alors si tu penses :
« Je ne peux pas prendre de temps pour moi maintenant »… et si, justement, ce moment était celui qu’il te fallait ?
Faisons le point.
Est-ce que ça te parle ?
Ce mode "je serre les dents", je pousse, je continue, sans jamais m’arrêter.
Si oui, ton prochain pas est peut-être bien plus simple que tu ne l’imagines…
Sinon, clique ici ou fais défiler la suite pour continuer.
Bon à savoir…
Ton cerveau n’est pas fait pour le multitâche. Ce que tu fais s’appelle en réalité du « switch de tâches » — rapidement passer d'une tâche à une autre — et ça consomme plus d’énergie, augmente le niveau cortisol, et donne l’impression d’être toujours en retard.
Traduction ?
Le stress que tu ressens ne vient pas du fait que tu ne fais pas assez —
mais du fait que tu essaies de tout faire en même temps.
"Pas le temps de souffler, on compte sur moi."
Prête pour un petit pas qui peut tout changer ?
Tu n’as pas à tout gérer toute seule. Que tu sois curieuse de découvrir comment je travaille ou déjà décidée à te faire accompagner — voici trois façons simples de commencer, à ton rythme.
Alors respire un bon coup, et choisis celle qui te parle le plus :
"Je ne veux pas décevoir les autres."
Prendre soin ne veut pas dire tout prendre en charge.
Si ton premier réflexe, c’est de tout prendre en charge… tu n’es pas la seule.
Pas forcément parce que tu ne fais pas confiance aux autres (même si… parfois, un peu aussi), mais surtout parce que ça te tient à cœur.
Parce que tu vois ce qui ne va pas.
Parce que tu le ressens. Et tu veux aider.
Mais voilà, quand ton système nerveux fonctionne en mode survie depuis trop longtemps, cette attention se transforme en surinvestissement.
Tu interviens avant même que les autres aient eu une chance d’essayer.
Et sans t’en rendre compte, tu portes tout. Encore.
Pas parce que tu veux contrôler.
Mais parce que c’est le moyen le plus rapide de t’assurer que "ça va aller."
Sauf que c’est épuisant. Et ça empêche, en douce, les gens autour de toi de prendre leur place, de se tromper, d’apprendre, d’oser, de se dire : "Tiens, en fait je suis capable."
(C’est particulièrement vrai avec les enfants. Ou les partenaires. Ou les collègues.)
Et si prendre un petit pas de recul, ce n’était pas les abandonner ?
Mais plutôt leur offrir un peu plus d’espace, à eux, et aussi à toi-même.
Ce n’est pas égoïste.
C’est intelligent. Et bienveillant.
Et peut-être bien que… c’est le bon moment.
Tu te reconnais là-dedans ?
Bon à savoir...
Le stress chronique altère ta capacité à réguler l’empathie.
Quand tu es épuisée, tes neurones miroirs (ceux qui te permettent de te connecter émotionnellement aux autres) deviennent moins réactifs.
Quand tu es constamment en mode "sauveuse", ton taux de cortisol grimpe — parfois même plus que celui de la personne que tu essaies d’aider.
Et pourtant, aider depuis un espace calme et équilibré, c’est non seulement plus efficace… mais aussi bien plus sain — pour tout le monde.
En résumé :
Le burnout éteint la compassion.
Quand tu es reposée et soutenue, tu peux vraiment être là — avec douceur, force, et clarté.
"Je dois gérer ça toute seule, comme toujours."
Quand "gérer seule" devient un réflexe qui pèse.
Tu es forte, tu sais te débrouiller, tu tiens bon depuis longtemps.
Alors forcément, demander de l’aide… ne semble pas si naturel.
Tu as même peut-être l’impression que ça veut dire que t’as raté un truc.
Tu pourrais même croire que ça veut dire que tu as échoué. Et si, au contraire, c’était le signe que tu es prête pour autre chose ?
Souvent, gérer seule devient un réflexe de survie. Ça protège de la déception, de la vulnérabilité, ou du sentiment de déranger.
Mais à la longue, ça isole. Et ça épuise.
Le fait est que la vie n’est pas faite pour tout faire toute seule.
Tenir bon coûte que coûte ne fait pas de toi quelqu’un de plus forte — juste quelqu’un de plus fatigué.
Recevoir du soutien ne veut pas dire abandonner.
Et certainement pas que tu es incapable.
Ça veut simplement dire que tu choisis de ne plus tout porter sur tes épaules. Que tu acceptes que ce soit plus léger. Et que tu ouvres la porte à une vie plus soutenue, plus stable… et plus alignée avec toi.
Si tu t’es déjà sentie incomprise, si tu as l’impression que le soutien vient toujours avec des conditions, ou que te montrer vulnérable, c’est risquer le jugement… bienvenue. Tu es exactement au bon endroit.
Faisons le point :
Est-ce que ça te parle ?
Toujours en train de prouver, toujours en train de pousser, rarement en train de recevoir ?
Bon à savoir…
Quand ton cerveau est soumis à une pression constante pour "gérer", "prouver" ou "assurer", il renforce des circuits neuronaux liés à l’hyper-indépendance.
À force, ton système nerveux se conditionne : demander de l'aide finit par sembler risqué, voire menaçant.
Ce n'est pas une faille, c'est un mécanisme de protection. Ton corps s'est adapté pour survivre.
La bonne nouvelle ? Des relations sécurisantes et des expériences corporelles rassurantes peuvent peu à peu reprogrammer ce mécanisme.
Note personnelle de ma part:
Pendant longtemps, j'ai cru que je ne pouvais compter que sur moi.
Et c’est ce que j’ai fait — à ma façon. Mais ça m’a coûté cher. En énergie. En temps. Et ça a retardé l’essentiel.
Je ne laissais pas la place aux autres pour m'épauler ou créer cette confiance que je cherchais.
Faire tout toute seule semblait plus sûr... jusqu'à ce que ça ne le soit plus.
Tu n’as pas besoin de tout porter seule pour prouver ta force. Il existe d'autres façons d'avancer.
Et tu as le droit de te sentir soutenue.
"J'ai déjà tout essayé…"
Tu as tout essayé — mais peut-être pas de la façon qui te convient vraiment.
Essayer ne veut pas toujours dire faire ce qui aide vraiment.
Surtout quand tu es fatiguée, dépassée, et que tu cherches une solution rapide.
Et quand rien ne semble marcher, c’est facile de croire que le problème, c’est toi.
Mais non.
Le plus souvent, ce n’est pas toi qui manques de quelque chose — c’est l’approche qui n’est pas la bonne.
Peut-être que tu as essayé de forcer. De "penser positif". De tout gérer avec ta tête alors que ton corps criait le contraire.
La vérité, c’est qu’on ne nous a jamais appris à calmer notre système nerveux.
On nous a appris à tenir bon. À fuir. À anesthésier.
À faire semblant d’aller bien.
Mais ça, ce n’est pas aller mieux. C’est survivre.
Pas étonnant que ton corps soit à bout.
Si tu te reconnais là-dedans, sache que tu n'es pas seule, et que je suis là.
On va ralentir un peu. Juste assez pour que tu puisses entendre ce que ton corps essaie de te dire depuis tout ce temps.
On commence en douceur.
Parce que la guérison ne vient pas d’un effort de plus — elle commence quand tu te sens suffisamment en sécurité pour relâcher.
Faisons le point :
Est-ce que ça te parle ?
Épuisée, au bout du rouleau, et plus envie d’avoir à "trouver des solutions" toute seule ?
Bon à savoir...
Les études en psychologie somatique montrent que lorsqu’on est en état de stress chronique ou de réponse traumatique, le cerveau met littéralement la guérison de côté.
Il revient à des schémas de survie qui ne font que renforcer l’épuisement et la confusion.
C’est pour ça que "faire plus" ne suffit pas.
Ce qu’il faut, c’est interrompre cette boucle — en douceur — grâce à la sécurité, à la co-régulation, et à un vrai soutien du système nerveux.
Note personnelle de ma part:
Je connais bien cette sensation, je l’ai vécue.
J’ai essayé tellement de choses avant de trouver ce qui m’a vraiment aidée.
Et avec le recul, je compris que je n’étais pas en train d’échouer, j'étais en train d'avancer et d'apprendre.
J’étais simplement dépassée.
J’essayais, encore et encore… mais sans espace pour intégrer, ou sans le bon type de soutien.
Et dans cet état-là, même les meilleurs conseils ressemblent à une pression de plus.
Si c’est là que tu en es aujourd’hui, ce n’est pas la fin de ton chemin.
C’est peut-être le moment où tout commence à changer.
"Je ne suis pas en état. J’attends d’y voir plus clair avant de commencer quoi que ce soit."
Le "bon moment" ne viendra pas, mais le soulagement peut commencer maintenant.
Tu connais ce piège :
"Je ne suis pas prête. Je vais attendre d’aller un peu mieux, et là je m’occuperai de moi…"
Autrement dit : j’attends d’aller mieux pour faire ce dont j’ai besoin… pour aller mieux. Prends une petite minute pour y réfléchir. Est-ce que ça tient encore debout ?
Tu te dis que tu commenceras quand ça se calmera. Quand tu auras plus d’énergie. Quand tu y verras plus clair. Quand ta liste de choses à faire sera un peu moins longue…
Mais ce qui se passe en réalité ?
Ton système nerveux tourne en boucle. Et cette boucle ne se casse pas toute seule, juste en attendant.
La vérité, c’est que tu n’as pas besoin de te sentir prête pour commencer.
Prête, ce n’est pas une émotion. C’est une décision.
Tu as juste besoin d’un pas simple, faisable, qui fait que ton système nerveux se sent un peu plus en sécurité — maintenant. Pas le mois prochain. Pas après le prochain rush. Pas "un jour".
Parce qu’attendre ne crée pas l’espace dont tu as besoin. Mais avancer, pas à pas, avec du soutien… c’est ce qui change vraiment les choses.
Est-ce que ça te parle ?
Tu attends que ton énergie revienne, que ta tête s’éclaircisse, que "le bon moment" arrive — tout en sachant que ce moment-là ne vient jamais vraiment comme ça ?
Bon à savoir...
Quand ton système nerveux est déréglé, la zone de ton cerveau responsable de la prise de décision et de la planification (le cortex préfrontal) se met en veille.
C’est pour ça que tout semble "trop" et que même les plus petites étapes paraissent impossibles.
Attendre que ça aille mieux te maintient un peu plus chaque jour dans un état qui t’épuise — et rend le retour à l’équilibre plus long, plus flou, plus lourd.
Note personnelle de ma part:
J’avais tendance à tout analyser. Et puis… je ne faisais plus rien.
Je me disais que je m’en occuperais quand j’aurais plus de temps, plus d’énergie, plus de clarté. Mais ce moment-là venait rarement.
Et plus j’attendais, plus tout me paraissait lourd. Avec le recul, je n’étais pas paresseuse — j’étais dépassée. Et après avoir testé tant de choses qui n’ont pas aidé, une partie de moi a cessé d’y croire.
Ce qui m’a aidée, ce n’est pas d’en faire plus. C’est de me laisser un peu d’espace et de commencer par une seule chose que je pouvais faire.
Aujourd’hui, quand je me sens bloquée, je ne force plus. Je m’arrête. Je me reconnecte.
Et j’avance à partir de là.
"Si je commence, j’ai peur de m’écrouler."
Ta sensibilité n’est pas le problème, c’est la surcharge.
Tu n’es pas "trop". Tu portes juste énormément. Depuis trop longtemps. Et souvent toute seule, sans rien dire.
Quand on ressent tout très fort, et qu’on capte chaque petit détail… ça peut être magnifique. Mais quand la vie devient trop lourde ou trop intense, cette sensibilité peut vite devenir une source de problème.
En vérité, tu n’es pas "trop fragile". Tu n’es pas cassée et il n'y a rien qui "cloche" avec toi. Tu as juste besoin d’un espace doux, sans exigences, qui t’accueille exactement comme tu es, là où tu en es. Avec des outils simples, concrets, et respectueux de ton rythme.
Sauf que bien souvent, personne ne nous a donné ces outils, appris à sortir du mode "alerte," à nous ancrer, à écouter ce que notre corps essaie de dire, ou simplement à remarquer ce qui se passe à l’intérieur.
Alors on essaie de continuer, de "tenir bon". On se concentre sur notre monde exterieur. Mais à l’intérieur, tout se tend encore plus.
Tu n’as pas besoin de tout raconter, ni de revivre chaque moment douloureux. Dans mes séances, on ne revis pas l’histoire. On la libère.
Et oui, parfois, il y a des larmes. Et c’est ok.
Pleurer, ce n’est pas un drame. Ce n’est pas un “problème”.
C’est juste ton corps qui relâche. C’est somatique. C’est sain. C’est un reset.
Ce que j'ai a t'offrir ce n’est pas une thérapie par la parole.
C’est un moment pour revenir dans ton corps, relâcher la pression, et lui permettre de souffler.
C’est comme ça que commence le vrai changement.
Pas en serrant les dents. Mais en relâchant la pression.
Faisons le point :
Tu te reconnais là-dedans ?
Hypersensible, vite submergée, peur de "trop ressentir" ?
Bon à savoir...
Quand ton système nerveux reste en alerte constante, il envoie des signaux au cerveau qui amplifient la perception de danger — et freinent la réflexion à long terme.
C’est ce qui peut rendre les décisions les plus simples presque impossibles à prendre.
Et c’est exactement pour ça qu’apaiser d’abord le corps — sans forcer la clarté — est souvent la meilleure voie pour avancer.
Note personnelle de ma part:
À force de retenir mes larmes, j’ai fini par ne plus vraiment savoir comment les laisser sortir.
Mon corps s’était habitué à bloquer, à encaisser, fonctionner en mode survie. Et paradoxalement, je pleurais parfois, mais jamais quand il le fallait.
Quand j’avais besoin d’évacuer, rien ne venait. Et quand je voulais simplement parler, les larmes montaient sans prévenir.
Et plus j’essayais de les retenir, plus elles coulaient, ce qui était très frustrant, et plus je me frustrais, plus les larmes coulaient.
Un vrai petit cauchemar.
Je croyais que résister me rendait plus forte. Mais en réalité, ça entretenait exactement ce que je résistais.
Je ne savais pas encore que mes émotions parlaient à travers mon corps. Pour moi, tout se passait dans la tête.
Je n’avais pas appris à les reconnaître, encore moins à les écouter.
Mais quand j’ai compris qu’il ne s’agissait pas de les contrôler…
mais de leur offrir un espace sûr pour passer, tout a changé.
"Je ne peux pas me le permettre en ce moment."
Quand "je ne peux pas me le permettre" ne parle pas vraiment d’argent.
On pense souvent que c’est le manque d’argent qui nous bloque.
Mais bien souvent, ce n’est pas une question de compte bancaire — c’est une question de valeur personnelle.
Parce que soyons objectives, combien de fois as-tu déjà dépensé pour des choses qui ne t’ont pas vraiment aidée ou que tu as regretté ?
Comme par exemple des abonnements qu’on oublie de résilier, des vêtements achetés alors que ta garde-robe déborde déjà, un nouveau téléphone alors que l’ancien fonctionne encore très bien, des objets divers qu’on n'utilise presque jamais, des achats "pour se changer les idées" mais qui ne changent rien en profondeur…
Et puis il y a les achats "inspirés" : ceux qu’on fait sur un coup de boost créatif. Un projet qui t’a emballée, une idée géniale – sur le moment. Tu passes commande et quand ça arrive, c’est trop tard. L’énergie est retombée. Le truc reste dans le placard.
Tout ça, c'est le coût du paraître. On peut facilement dépenser beaucoup — souvent inconsciemment — juste pour maintenir les apparences, pour entretenir cette façade de "je vais bien, tout va bien".
Mais si tu prenais tout cet argent et que tu l’utilisais pour vraiment aller mieux, tu n’aurais sûrement plus besoin de cette façade. Et au fond, c’est elle qui coûte le plus cher.
Encore une fois, ce n’est pas un reproche ni un jugement. Et ce n’est pas non plus pour que tu te juges. C’est une invitation à faire le point — avec douceur — sur ce qui te fait vraiment du bien et ce qui ne fait que maintenir l’illusion que tout va bien.
La vérité, c’est qu’on trouve toujours de la place pour ce qui compte à nos yeux. Alors la vraie question, c’est : où te places-tu, toi, sur ta propre liste de priorités ?
Investir dans un accompagnement, ce n’est pas "dépenser de l’argent" c’est dire : je suis importante, je compte. Ma paix intérieure compte. Ma santé compte. Mon bien-être mérite de l’attention.
Et quand tu fais ça, quelque chose change autour de toi. Ton énergie. Ton focus. Tes choix. Et oui… même ton rapport à l’argent.
Le soutien, ce n’est pas un luxe. C’est la base pour devenir la version de toi capable de créer la vie que tu veux vraiment.
Alors viens, on regarde ça calmement, honnêtement.
Pas pour culpabiliser. Juste pour clarifier. Parce qu’il y a une vraie différence entre investir dans une façade de bien-être et investir dans ton vrai bien-être.
Oui, c’est important d’être prudente avec son argent, mais soyons claires :
Quand on dit "je ne peux pas me le permettre", on veut souvent dire "je n’arrive pas à le justifier".
Et ça, ça parle moins d’argent que de la place qu’on s’accorde dans sa propre vie.
Tu n’as pas besoin de tout résoudre. Tu as juste besoin d’objectivité, et d’une vraie envie de prendre soin de toi comme tu le mérites.
Parfois, la chose la plus efficace que tu puisses faire, c’est d’arrêter de te repousser à plus tard.
Si tu veux y voir plus clair dans ton rapport à l’argent, je t’ai préparé un petit exercice simple et concret pour t’aider à faire le point — sans blabla, sans pression. Juste une vraie prise de conscience.
Et si tu l’as déjà fait ou si tu sais déjà très bien où tu en es : félicitations, vraiment. C’est génial de voir comme tu avances ! Parce que lire jusqu’au bout, c’est déjà un choix. Celui de ne plus fuir. Celui de t’écouter. Et ça mérite d’être célébré. 💛
Alors maintenant, si tu sens que c’est le moment de faire un pas de plus, je t’ai préparé quelque chose pour t’aider à choisir ta prochaine étape.
Un petit coup de pouce pour passer de la réflexion à l’action alignée.
Bon à savoir...
Le stress lié à l’argent active exactement les mêmes réactions de stress que face à un danger physique.
Quand tu ne te sens pas en sécurité financièrement, ton corps peut littéralement désactiver ses fonctions de prise de décision — ce qui rend plus difficile de voir les options, de faire confiance aux solutions, ou de penser à long terme.
C’est pour ça que travailler sur le système nerveux en premier peut transformer la façon dont tu vois tes ressources — y compris le temps, l’énergie et l’argent.
Note personnelle de ma part:
Oh, je suis passée par là moi aussi.
Je me répétais sans cesse que je ne pouvais pas me le permettre — pas forcément parce que c’était vrai (même si parfois ça l’était), mais parce qu’au fond, je pensais que ce n’était pas raisonnable de dépenser pour moi.
Il y avait cette idée qui tournait en arrière-plan : "Ce n’est pas pour moi."
Tout ce que je faisais pour mon bien-être, je le voyais comme facultatif — un luxe, pas une priorité.
Pas que je me le disais clairement,
mais ça influençait quand même mes choix, jusqu’au jour où j’ai décidé de faire autrement.
Aujourd’hui, je le vois bien : investir en moi, ce n’est pas égoïste — c’est essentiel.
C’est ce qui me permet d’être présente, de soutenir les autres avec cœur, et de construire la vie que j’ai vraiment envie de vivre.
Et tu le mérites, toi aussi.
Pas plus tard — maintenant.
"Est-ce que ça a aidé d’autres personnes comme moi ?"
Voici ce que les gens disent de leur expérience avec Sabrina, chez Mind to Love
Si tu es comme moi, tu ne veux pas juste savoir ce que quelqu’un propose…
Tu veux savoir ce que ça fait de travailler avec elle.
Alors voici un aperçu de ce que mes clientes partagent après leurs séances, programmes ou e-mails — avec leurs mots, pas les miens :
Soulagement du stress
(Séances chakras/énergie, mini retraite Inner Shift incluses)
"Une détente profonde."
"Plus d’énergie, moins de douleurs."
"Une paix que je n’avais pas ressentie depuis des années."
Ces séances sont souvent décrites comme douces et puissantes à la fois.
Qu’il s’agisse de stress chronique, de sommeil perturbé, d’émotions retenues ou de manque d’énergie — la plupart repartent en se sentant plus légères, plus calmes… et plus elles-mêmes. Même après une seule séance.
Séances de coaching
"Sûr, profond, et sans jugement."
"J’ai enfin pu avancer."
"Ça a changé mon regard sur moi-même."
Que ce soit pour retrouver de la confiance, poser des limites, voir plus clair ou se libérer du passé — mes clientes me disent souvent qu’elles se sont senties pleinement accueillies, respectées, et capables de sortir de vieux schémas. Même les ados (et leurs parents) ont vécu des changements profonds.
Emails d'auto-coaching
"Chaque mot me parle."
"Je les relis encore et encore."
"Profonds, simples, puissants."
Ce ne sont pas de simples newsletters.
Ce sont des mini séances de coaching — remplies d’outils, de prises de conscience, de clarté et de réconfort. Beaucoup les gardent précieusement… et les relisent au bon moment.
→ Tu peux lire plus d’avis sur les e-mails ici
"J’ai encore quelques questions."
Clarifions ensemble.
Tu as déjà fait un beau chemin — et c’est normal de vouloir un peu plus de clarté avant de te décider. Voici les questions qu’on me pose le plus souvent avant de passer à l’étape suivante.
Et si tu ne trouves pas ta réponse ici ni sur la page FAQ, aucun souci — tu peux toujours m’écrire directement.
Question: Est-ce que c’est comme une thérapie ? Est-ce que je vais devoir parler de mon passé ?
Réponse : Non, je ne suis pas psy. Je suis coach.
Mon approche est centrée sur le présent et sur ce que tu veux construire maintenant. Tu peux bien sûr raconter ton histoire si tu en ressens le besoin, mais on ne va pas s’y attarder. L’idée, c’est d’utiliser ce qui remonte pour délier en douceur ce qui te bloque, sans devoir revivre ou ressasser ce que tu portes déjà depuis trop longtemps. On avance, sans se perdre dans le passé, en soutenant ton corps et ton esprit pour retrouver de la clarté et du mouvement.
Question: Et si je ne crois plus que quelque chose puisse vraiment m’aider ?
Réponse : C’est un sentiment très honnête.
Demande-toi : est-ce que ce que tu ressens vient de l’épuisement ? De la déception ? Du découragement ? Ou est-ce que tu as déjà décidé que rien ne peut t’aider ? Si la porte est fermée, rien ne pourra passer. Mais si tu es juste fatiguée, hésitante, ou sceptique — c’est ok. Tu n’as pas besoin d’y croire à 100 %. Juste d’avoir un petit espace en toi qui reste curieux de ce qui pourrait être possible.
Et au fond, c’est toi qui choisis : Est-ce que tu préfères avoir raison… ou te sentir mieux ?
Bon à savoir...
Grâce à la neuroplasticité, ton cerveau peut créer de nouveaux circuits neuronaux tout au long de la vie — pas seulement pendant l’enfance.
Chaque fois qu’on répète une action, une pensée ou une expérience — même infime — les connexions entre les neurones se renforcent.
C’est ce qu’on appelle la potentialisation à long terme : le processus par lequel le cerveau apprend et ancre de nouveaux schémas.
Ça veut dire que même de légers ajustements répétés — dans ta façon de penser, de respirer, de bouger ou de réagir — peuvent littéralement reprogrammer ton cerveau avec le temps.
Et donc rendre plus accessibles des états comme le calme, la clarté ou la confiance.
Les études montrent que ce n’est pas une seule action qui transforme les choses. C’est la répétition.
Les petits ajustements réguliers renforcent certains chemins neuronaux, jusqu’à devenir ton nouveau réflexe naturel.
Et c’est comme ça que, doucement mais sûrement, ce qui te semblait difficile devient plus fluide… et que ta nouvelle "norme" commence enfin à vraiment te ressembler.
"Si tu n’es pas prête à parler, c’est ok. Tu peux quand même commencer."
Pas encore prête à parler — mais tu veux quand même du soutien ?
Mes e-mails de self-coaching sont faits pour toi. Un vrai soutien. Sans bla-bla.
Pas de slogans. Pas de pression. Juste des repères concrets pour t’aider à te reconnecter à toi, un petit pas à la fois.
On commence avec un sujet essentiel, souvent oublié quand on parle de confiance en soi : les limites saines. Pas en théorie — dans la vraie vie.
Je t’accompagne pour voir à quoi elles peuvent ressembler dans ton quotidien, même si tu ne sais pas trop par où commencer.
C’est gratuit. Sans engagement.
Juste un espace sûr pour souffler un peu et commencer à vraiment vivre ta vie.
Et si tu voyais ce qui change quand tu te remets sur ta liste des priorités ?
Parfois ce n'est pas une question de faire le bon choix, mais juste le prochain.
Quel type de soutien te conviendrait le mieux aujourd’hui ?
Pas besoin de tout analyser. Quel que soit ton choix, ce sera déjà le bon.
Je propose deux formes de soutien en direct (en ligne ou en présentiel) :
– L’une t’aide à apaiser ton corps pour calmer ton mental. (séance de libération du stress)
– L’autre t’aide à clarifier où tu en es, ce que tu veux vraiment et avancer dans cette direction. (séance de coaching)
Les deux t’invitent à mieux te connaître, en douceur, avec honnêteté, et sans jugement.
Ce n’est pas une question de faire le choix parfait — de toute façon, tu ne peux pas te tromper car il n’y a pas de bon ou de mauvais choix ici. Tu peux simplement choisir ce qui te semble le plus accessible aujourd’hui.
Je te rejoins là où tu en es.
On regarde ensemble ce qui te conviendrait le mieux ?
Lis les deux descriptions ci-dessous à voix haute, tu verras vite laquelle te parle le plus.
— SESSIONS DE LIBÉRATION DU STRESS —
J’ai envie de me sentir à nouveau calme et centrée
Inspire lentement et profondément… Puis expire lentement…
Ok, on va faire simple:
Sois honnête — si, ces deux derniers mois, tu ne t’es pas souvent retrouvée dans l’un ou plusieurs des états qui suivent…
Alors il est temps de réserver une séance de libération du stress.
Prends un petit moment maintenant pour faire le point — sans jugement, sans culpabilité, et sans te mettre de pression :
◻️ Je respire profondément, sans tension dans le corps,
◻️ Je me sens présente dans mon corps, consciente de ce qui m’entoure — la lumière, les sons, les odeurs subtiles, l’air sur ma peau,
◻️ Mes pensées sont calmes, claires, posées (et pas en boucle, confuses ou en surchauffe),
◻️ Je m’endors sans lutter, et je me réveille reposée,
◻️ Les sources de stress ne disparaissent pas — mais je récupère sans exploser, me figer, me renfermer, ni refouler ce que je ressens.
◻️ Je me sens en sécurité en moi, même quand la vie est chaotique ou imprévisible.
Si ce n’est pas ton état "par défaut" ces derniers temps, c’est que ton corps et ton système nerveux te réclament ce type de séance depuis un moment déjà.
Revenons ensemble vers plus de calme — un reset à la fois.
Les séances de Libération du Stress aident ton système nerveux à sortir en douceur du mode survie. Petit à petit, tu te sens plus calme, plus connectée, et plus toi-même.
— COACHING SANTÉ INTÉGRATIVE —
J’ai envie de me sentir à nouveau claire et confiante
Prends une autre grande inspiration… Puis relâche doucement…
On va faire simple et direct :
Si, ces deux derniers mois, peu importe ce qui s’est passé, tu ne t’es pas souvent reconnue dans ce qui suit… alors il est temps de réserver une séance de Coaching Santé Intégrative.
Prends un moment maintenant pour faire le point — sans jugement, sans honte, et sans pression :
◻️ Je me lève le matin en sachant à quoi ma journée va ressembler
◻️ Je ne me sens pas constamment partagée entre ce que je veux et ce qu’on attend de moi,
◻️ Je peux dire non sans y penser pendant des heures ou culpabiliser toute la journée,
◻️ Je ne repasse pas les choses en boucle — je les laisse aller et je passe à autre chose,
◻️ Je sais ce qui me vide de mon énergie, et j’ai appris à me protéger,
◻️ J’ai enfin l’impression d’être vraiment moi — même quand tout n’est pas parfait.
Si ce n’est pas ton état "par défaut" en ce moment,
c’est probablement ce dont ton esprit et ton cœur ont besoin.
Retrouvons ensemble plus de clarté — une conversation ancrée à la fois.
Les séances de Coaching Santé Intégrative t’aident à sortir du brouillard mental et à retrouver un alignement intérieur — en reconnectant tes pensées, tes émotions et les signaux de ton corps pour qu’ils travaillent enfin ensemble.
Si tu es arrivée jusqu’ici, c’est que quelque chose en toi a déjà commencé à bouger.
Le vrai changement ne veut pas dire "zéro stress."
Ça veut dire : se sentir équipée.
Ce travail ne cherche pas à supprimer le stress à jamais.
Il t’aide à y répondre autrement, avec plus de calme, plus de clarté, et plus de liberté de choix.
Avec le temps, tu remarqueras que tu récupères plus vite.
Tu te sentiras plus présente, plus centrée, et mieux préparée à faire face aux hauts et aux bas de la vie — sans te perdre en route.
Ce n’est pas juste du soulagement.
C’est une sorte de rééducation — de ton corps, de ton esprit, et de ton énergie.
"On ne peut pas résoudre un problème avec le même état d’esprit qui l’a créé."